Le parcours artistique de G. Aillaud est retracé, de son accès à la présidence du Salon de la jeune peinture en 1964 à son voyage au Kenya en 1988. Artiste engagé, il cherche à travers ses peintures animalières à éveiller la conscience des spectateurs sur la condition humaine. Un essai ainsi que plusieurs textes d'historiens de l'art complètent l'ensemble.